Analyse linéaire de La Princesse de Clèves de « Eh bien, Monsieu […] à son mai » La Princesse de Clèves est une des œuves pincipales de madame de Lafayette malgé u’elle l’ait publié anonymement suite son statut, le fait u’elle soit à la cou auait pu la faie passe pou une citiue politi ue. Contre un sang odieux réveiller le courroux. NB : Aveu déjà envisagé à deux reprises : Ou : En quoi cette scène de l’aveu met-elle en scène deux personnages sublimes ? ● Dernière phrase :  souligne sa douleur qui est ancienne et se trouve renouvelée, attisée par cet aveu qui lui montre son erreur : Mme de Clèves est  sensible mais pas à son mari qui prend, lui, csce de son sort. Cette scène est toutefois bien singulière et peut également donner l’impression de n’être qu’une illusion de sentiments vertueux. On a l’impression que la princesse s’ingénie à tourner autour du mot « adultère » sans le prononcer. Ce farouche ennemi qu'on ne pouvait dompter, Si elle ne l’affirmera jamais publiquement, elle avouera, à demi-mots, l’avoir écrit dans une lettre. Il faut perdre Aricie, il faut de mon époux D’abord, La princesse de Clèves est un roman écrit de manière anonyme par Mme de La Fayette en 1678. Les caractéristiques de la tragédie sont présentes à travers le champ lexical de la douleur « demeuré » « la tête appuyée sur ses mains » « larmes » « mourir de douleur » et la gestuelle tragique « la tête appuyée sur ses mains » « à ses genoux » « l’embrassant en la relevant ». Alors en quoi cette scène d’aveu montre-t-elle que Mme de la Fayette est une moraliste ? Phèdre Elle est notamment amie avec Madame de Sévigné etLa Rochefoucauld. après rédaction commune d’une lettre avec Nemours, scène la + célèbre et la plus controversée du roman / question de la nécessité  et du caractère vraisemblable de cet aveu + moralité. Femme de lettres 2. Eléments pour l’introduction : -Madame de Lafayette : 1634-1693 de son vrai nom Marie-Madeleine Pioche de La Vergne. La Princesse de Clèves publié e… Pourquoi me laissais-tu séduire ? Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, A. Auteur de La Princesse de Clèves, Zaïde, La Princesse de Montpensier Elle publie La Princesse de Clèves en 1678 (Classicisme), ro… Les deux personnages sont vertueux : Mme de Clèves avoue sa passion pour un autre pour mieux y résister et M de Clèves ne cherche pas à se venger de cet aveu qui le met au désespoir. Ils s'aiment ! L. 14 à fin : La réponse de Monsieur de Clèves, NB « Ayez pitié de moi »  à rapprocher de la même phrase prononcée par la princesse l. 9, De même : « j’en suis digne »répond à « si vous pouvez » l. 9. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Choix 22 : De la philosophie pour finir ? Présentation générale de l'oeuvre Mme de Lafayette : 1. Ils s'aimeront toujours ! Supprimez la fin du texte. Hippolyte aime, et je n'en puis douter. Il remporte un grand succès. Famille noble 3. Problématique : En quoi peut-on parler d’une scène tragique ? Grandeur tragique. Importance de la bienséance qui explique cette passion avouée à demi-mots. Elle s’inscrit en cela dans le goût de la préciosité pour les énigmes, qui a profondément influencé Madame de La Fayette et comme une précieuse mondaine, elle propose une énigme à M. de Clèves qui se prête au jeu et y répond. Elle fait un mariage de raison avec le Prince de Clèves (devenant ainsi la Princesse de Clèves) puis rencontre lors d’un bal le duc de Nemours dont elle tombe am… Dans ce roman, l’action se passe à la cour d’Henri II en 1558 et de François II en 1559 : une jeune fille de l’aristocratie, Mademoiselle de Chartres a reçu une éducation exemplaire et vertueuse. Textes complémentaires : la querelle de l’aveu. A quel nouveau tourment je me suis réservée ! Je me cachais au jour, je fuyais la lumière. Le texte s’inscrit ainsi dans le registre épique en mettant en scène une princesse héroïque qui brave les conventions religieuses et sociales pour faire une révélation pleine de sincérité et de noblesse. La jeune femme combat cette passion mais une nouvelle rencontre entre les deux personnages ravive cet amour. Cf « vous me paraissez plus digne d’estime et d’admiration que tout ce qu’il y a jamais eu de femmes au monde ». L'aveu de le princesse de clèves analyse lineaire. Les élèves de 605 m'ont demandé hier de redonner l'étude linéaire d'un des extraits de La Princesse de Clèves. Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours ? « Et qui ? Le lui dire en s'adressant à lui, en tête à tête, est très difficile. Oenone Et sous un front serein déguisant mes alarmes, Nb elle reprend les mêmes mots que sa mère avait utilisés pour la mettre en garde contre les dangers de la Cour. Tirade de Mme de Clèves qui affirme son aveu et la justifie. Madame de Lafayette est l'auteure de plusieurs ouvrages, mais on l'associe souvent à La Princesse de Clèves tant ce roman publié d'abord anonymement en 1678 a marqué les esprits. Son portrait est un cliché, celui de la Princesse, qui semble issue des contes de fées de Charles Perrault (même s’il n’éditera son recueil que bien après 1678, date de parution de La Princesse de Clèves). » → question revient par la suite, cherche à savoir qui c’est, comment il a atteint son cœur. Point de vue de Bussy-Rabutin (aveu invraisemblable, extravagant, artificiel) / celui de Fontenelle (aveu nécessaire car seul moyen pour la princesse de se protéger de son penchant pour Nemours). Vous ferez attention au redécoupage de l'extrait que j'ai raccourci. Monsieur de Nemours va relater, lui,  la scène au vidame de Chartres. Même souffrance, même sentiment de jalousie, même stupéfaction d’apprendre qu’un autre a réussi à susciter de l’amour chez l’être aimé alors qu’eux-mêmes ont échoué à le faire. Vit à la cour 4. La princesse n'admet pas tout de suite. Elle fait un mariage de raison avec le Prince de Clèves mais rencontre à un bal le duc de Nemours dont elle tombe amoureuse. Il fallait bien souvent me priver de mes larmes. La jeune femme combat cette passion mais une nouvelle rencontre entre les deux personnages ravive cet amour. A Paris, elle anime un salon littéraire et côtoie des hommes et des femmes de lettres. Hélas ! L'héroïne éponyme, modèle de beauté et de vertu, a épousé un homme par estime et non par amour. Madame de La Fayette est née en 1634 et décédée en 1693, c’est une aristocrate qui fréquente l’hôtel de Rambouillet. Sa description, son portrait et les effets qu'elle produit sur les autres traduisent la vision du monde de l'auteur. Elle réussit donc la prouesse de confesser l’adultère tout en ne l’exprimant pas. Les verbes à l’impératif « conduisez-moi » « ayez pitié » et  « aime-moi » semblent même montrer qu’elle garde la maitrise de la situation malgré une confession qui la met théoriquement en position de faiblesse. cf Donneau de Visé dans « Le Mercure français », pose la question de la moralité de l’aveu : une femme vertueuse devait-elle faire confidence de sa passion à son mari, honnête homme, ou la taire ? Personnage pathétique dominé par une force supérieure (passion) et qui ne trouve que la retraite comme solution pour garder sa vertu. Mme de Lafayette anime à Paris un salon littéraire où l’on débat des idées de la … Souligner aussi la cruauté de ces paroles de la princesse : l. 9 : Trois impératifs juxtaposés qui la placent sous l’autorité, la bienveillance charitable de son mari, recherche d’un deuxième guide spirituel (après sa mère ) cf « conduisez-moi », L. 10 à 13 : La réaction de Monsieur de Clèves face à cet aveu, 2èmemoment marqué par retour à la ligne et aux temps du récit. Objet de débat : Qui est le plus admirable des deux ? On peut, pourtant, considérer que Mme de Lafayette en est l’auteur. Il tente de se hisser au niveau de la princesse, de répondre à sa demande. Formulation générale, tournure impersonnelle (« où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge » : pluriels + présent de vérité générale)= jeu sur l’implicite, les dangers de la galanterie. Madame de La Fayette est née en 1634 et décédée en 1693, c’est une aristocrate qui fréquente l’hôtel de Rambouillet. Cet héroïsme est accentué par le chiasme « Je vous demande mille pardons, si j’ai, qui fait songer à la grandeur des héros Cornéliens confronté à un choix difficile entre amour et devoir. Que faut-il retenir de cette oeuvre pour le bac de français ? Malgré ce même exil qui va les écarter, Etude de la gestuelle : « demeuré », « la tête appuyée sur ses mains » : position qui renvoie codes picturaux du désespoir. Baudelaire : entre Romantisme et Parnasse, Lumni et Ponge, jeudi 9 avril, 15 h (France 4). Phèdre Ambiguïté qui permet d’enrichir l’analyse psychologique des personnages, de rendre plus complexes les liens entre vertu, passion, amour-propre, amour. - La dissimulation de M. de Nemours (qui s'est égaré à la chasse et qui, comme par hasard, est parvenu jusqu'au pavillon du jardin de la demeure de campagne de M. et de Mme de Clèves : il entend l'aveu que fait Madame de Clèves à son mari). la douleur de Phèdre se change en colère folle, en désir de vengeance contrairement à M. de Clèves qui écarte toute idée de vengeance. Si elle ne l’affirmera jamais publiquement, elle avouera, à demi-mots, l’avoir écrit dans une lettre. Pur amour qui le conduira à la mort et elle à la retraite totale. Les a-t-on vus souvent se parler, se chercher ? 8 avril 2020. NB : valeur du futur simple, dit  futur catégorique, qui vaut comme engagement formel. Possibilité aussi pour ceux qui connaissent la pièce de Racine, Phèdre (mais vous avez le temps de la lire ou de trouver un résumé) de rapprocher ce passage de la scène 6 de l’Acte IV. Mêmes consignes que d'habitude : imprimez le cours, travaillez-le avec le texte à côté de vous, recopiez-le et posez-moi toutes les questions que vous voulez. M. de Clèves va deviner le nom de l’amant de sa femme (voyage royal) et soupçons d’adultère (scène du pavillon). Fut dame d’honneur d’Anne d’Autriche. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence ; A l’aveu de la Princesse de Clèves succède un tableau digne de la tragédie. Tout ce que j'ai souffert, mes craintes, mes transports, Ils bravent la fureur d'une amante insensée. Elle fait un mariage de raison avec le Prince de Clèves mais rencontre à un bal le duc de Nemours dont elle tombe amoureuse. La romancière participe à des salons mondains tels que celui de Mme de Rambouillet où naît et se développe une esthétique précieuse. La mort est le seul dieu que j'osais implorer. Fréquente les cercles mondains et littéraires 5. Si le duc connaît les sentiments de la princesse, c'est par un concours de circonstances : il a été témoin de l'aveu qu'elle a fait à M de Clèves. Sa vie littéraire commence en 1662 avec la publication sous pseudonyme de la nouvelle La Princesse de Montpensier, puis d’un roman précieux, Zaïde, en 1670. En 1678 paraît un roman entouré de mystères, anonyme, et original pour l'époque par son court format : quatre tomes et quelques deux cents pages, là où les romans s'écoulaient sur plusieurs milliers de pages. De plus, dès début de son intervention, lié à la proposition incise « lui répondit-elle » : le 1 er geste de la Princesse dramatise l’instant : « se jetant à ses genoux » (l. Ecrit par Madame de La Fayette, une figue de la noblesse proche de Madame de Sévigné ou de La Rochefoucault, la Princesse de Clèves rencontre immédiatement le succès. Lorsque le texte paraît, elle est proche du groupe de Port-Royal, haut lieu du jansénisme qui véhicule une vision pessimiste de l’être… , roman précieux où domine l’analyse psychologique. ils se voyaient avec pleine licence Cette lecture linéaire avait été faite par l'étudiante stagiaire. Beauté à la fois physique et morale, Cf « l’embrassant » : geste qui le présente déjà comme le parfait amant, qui annonce la teneur de la réponse qui va suivre.